lundi 15 août 2011

MELANCHOLIA


CINÉMA

Je connaissais les 15 planches fameuses des gravures sur bois illustrant L’Apocalypse, le texte des Révélations de Jean… et puis cette « Melancholia-I d’Albrecht Dürer datant de 1514.

Melancholia de Lars Von Trier… Ou la « Sixtine » d’un cinéma du chaos. «Mélancholia» ou cette attitude intrigante d’un ange aux humeurs féminines qui rappelle celle de Job dans le Retable « Jabach ». Dürer, Lars Von Trier… Je ne sais pas ?! Sartre, Goya bien sûr !… Baudelairien !





On a d’abord cherché à trouver la bonne distance dans une petite salle d’un cinéma de quartier. C’est-à-dire un peu trop près de l’écran entre le troisième et le cinquième rang. Un vieux reflexe de cinéphile pour se persuader un instant de tout réussir à contrôler parfaitement des angles morts et des lignes de fuite. La position idéale pour assister au spectacle de sa propre mort sur grand écran. La fin du monde en un prologue intransigeant d’une rare beauté, et deux actes filmés avec cette sorte d’intelligence propre à quelques grands peintres de la renaissance. Disons Jérôme Bosch pour commencer. Bosch et Grunwald pour rester synchrone de ce même côté des Alpes… Bosch placé sous la baguette de Wagner en personne, ou disons celle au moins de son ami Hermann Levi dans sa conduite de Tristan et Isolde à Bayreuth. (Ce Wagner combattu par Nietzsche pour ces idées franchement antisémites). Oui, bon. Comment dire ?... le sujet d’un scandale qui n’en finira jamais. Nietzche contre Wagner pour qu’on ne confonde pas tout. Ce Wagner mort à Venise pour faire plaisir à Monsieur Visconti. Ce proustien de Visconti qui pour sa part fit figurer Gustav Mahler, Moussorgski et Beethov à son générique pour son adaptation de l’œuvre cultissime de Thomas Mann. Ce Beethoven embarqué lui aussi sur le navire amiral nazi avec Wagner et Bruckner, allez savoir ce que l’art peut encore nous réserver… Céline, Ciorian… Les amours sataniques de Lars Von Trier avec Wagner alors !… Ces conférences de presse ineptes et ce concert pathétique permanent des petites « gallianauseries » sans panache sur You Tube…. Toute cette nausée médiatique. Le bavardage évangélique, la vérité de catéchisme, les certitudes d’autels numérisées à tout va…. Oui, voilà. Mais revenons plutôt à ce « Jugement dernier ». Ce chapitre 20 de l’Apocalypse de Jean, brossé en 2:35 Dolby Digital HD.


MELANCHOLIA-I / ALBRECHT DÜRER 1514


Melancholia… du nom de cette mystérieuse gravure de Dürer (peut-être une des plus célèbres du monde). Albrecht Dürer. Encore un allemand ! Un génie. Le maitre germanique le plus grand de son temps. Une gravure, ou comme certains l’affirment : « une suite » de trois œuvres au burin de signification allégorique fort complexe… datant du tout début du XVIe siècle sur lesquelles depuis les érudits de tout acabit ont planché. D’abord cet ange soucieux de 1514 qui donnera plus tard ce fameux « spleen baudelairien. Cet ange ou plutôt ce génie « saturnien » plié sous son carré magique à 16 cases (le premier apparu en Europe, dit-on). Un ange céleste et ses attributs… ses outils de construction, disons… triviaux, pour une créature de cette condition si élevée. Un ange affligé, pile dans la trajectoire d’une comète fichée au cœur d’un pont mythique, une arche de couleurs annonciatrice d’un solde de tout comptes à régler en temps et en heure. (Un ange, « wagnérien » dirons-nous plus tard…) ; Et puis ce « St Jérôme à son étude » ; ou ce « Chevalier ». trois gravures tirées de la séquence célèbre dite de Meisterstiche. Les symboles du feu, de l’air et de l’eau pour certains (ou plutôt cette triade sidérale à laquelle on aurait aussi rajouté la terre pour avoir de quoi s’amuser un peu ici bas des forces géométriques qui nous tirent sans cesse par les pieds).

LE CAVALIER, LE DIABLE ET LA MORT / ALBRECHT DÜRER 1514


ST JÉRÔME / ALBRECHT DÜRER 1514


Cela ou autre chose comme la tentative d’une allégorie aux quatre humeurs essentielles prescrites à l’époque ou vivait ce « da Vinci" du Nord, selon le thème de la chute de l’homme. Bref, nous ne savons rien vraiment de définitif à propos de ce travail sur la mélancolie, d’un artisan graveur du XVIe siècle qui inspire aujourd’hui une œuvre audiovisuelle d’envergure promise d’emblée aux critiques les plus sourdes. Un monument du cinéma européen privé de son église naturelle pour quelques rapidités d’esprit incongrues sur le sujet du mal indicible élevé au rang de beauté monumentale. Un monument, et peu importent vraiment, les postillonneries post-canoises, le verbiage facile ou les confabulations de comptoir. L’ensemble est sans intérêt face à l’immense dépression flanquée par ce Mélancholia dans le paysage cinématographique insipide de cet été qui se termine avant d’avoir vraiment commencer. Un film catastrophe d’un genre totalement inconvenu. Un cataclysme dans l’ordre de la multitude de bandes hollywoodiennes à gros budget sur le sujet de notre fin annoncée à tous. Le tableau est profond et tout ce qu’il y a de plus habile. Un Caravage ou un Michel Ange… Une « Sixtine », disais-je… dans la matière des films de genre et de chaos ! (Et tant pis pour le caractère empesé des superlatifs ici utilisés). Un tableau Délectable à tout points de vues. Un sujet philosophique à tiroirs où le sentiment de nature l’emporte sur la grammaire critique d’un bout à l’autre des deux grands chapitres. Deux actes d’une poésie insensée pour notre époque de flux hyperactifs.

D’une certaine façon, le film et son teint de façade, proprement « nihiliste » propose une lecture en creux de l’impression de matérialité concernant notre rapport au monde. Ce sentiment d’une frontière difficile à mesurer entre une réalité possible et tout ce qui relève de la fiction. Une peinture inspirée par la géométrie des relations humaines et des engrenages amoureux, l’ensemble circonscrit aux seuls principes de leurs représentations symboliques. Ni plus ni moins. (Effacez donc ce blason sur le drapeau, et votre fier étendard redeviendra alors ce simple chiffon). L’amour… comme un « slogan » publicitaire placardé aux frontons des églises et des parlements de toute nature avant le grand déménagement annoncé. De l’amour… ou de l’affect dans les rapports humains en général, mais du côté de Schopenhauer pour vous dire les choses simplement. Une des clés pour rapprocher ce Lars Von trier du radeau idéologique wagnérien, mais passons. Notre rapport à la terre et aux étoiles à travers une visée franchement fataliste. Cette ostensible et récurrente manière de vouloir exister… mais pour rien. Oui, comment vivre après Nietzche ?!... seuls et affranchis dans ce grand désert céleste. Seuls et sans déité d’aucune sorte. Seuls et dans le tombeau glacé de nos anciens protecteurs. Melancholia de Lars Von Trier est une condamnation sans appel du principe d’osmose originelle consenti au genre humain. L’affaire d’un simple match de coïncidences plutôt !... où les rendez-vous solennels avec l’intelligence cosmique peuvent prendre des allures de compétitions radicales… Une géométrie des rencontres fortuites mise en scène comme on pratique ces opérations à cœur ouvert loin des couvents et de toutes autres formes de monastères. Une séance de beauté pure et affligeante, tragique pour l’espèce. Une leçon de rêverie morose sous la pâleur exquise de Saturne. Cet espace d’origine où la mentalité d’intuition finit par l’emporter sur toute autre force inspiratrice. Saturne esprit du monde, le doyen de l’Olympe. Saturne le créateur contre Jupiter qui seulement gouverne… Voilà l’invention moderne de la Renaissance. L’imagination… L’instrument de contemplation élevée bien au-delà du sens pratique. L’humeur mélancolique gage de toutes les sciences d’avant garde et de l’ultime conscience du monde qui nous entoure.



MELANCHOLIA : BANDE-ANNONCE


Mélancholia est une descente aux enfers qui peut se décrire exactement avec les arguments du contraire. Ce « bonheur d’être triste » disait Victor Hugo. La mélancolie comme l’angoisse du néant, la détresse à l’orée des trous noirs. La vie de l’homme souillé par le pêché originel bien sûr !... La mélancolie comme une nature infinie qui vous submerge jusqu’à la félicité. Une affliction si forte qu’elle finit par se dévorer elle même à l’image de Cronos qui dévorait ses propres enfants. Comme Baudelaire à son époque qui fut décrété infâme et tout à fait méprisable pour avoir su extraire la beauté de l’horreur dans « Les fleurs du mal », Lars Von Trier s’extasie de l’atroce condition humaine bien au delà des mouvements de foules subjuguées de son temps. Baudelaire et Lautréamont si l’on veut se risquer au jeu des filiations poétiques dans la matière philosophique du sensible opposée aux écoles du sens commun et de la morale générale. Tous des « saturniens »… Lars Von trier : Un voyant. Un de ses ouvriers de la sorcellerie évocatoire touché par la grâce du « Grand maléfique » dirait un vieil astrologue. Saturne, le héro civilisateur du panthéon romain, en tant qu’il représente la puissance intellectuelle placée très au-dessus de nos simples attaches terrestres. Lars Von Trier en génie du christianisme, mais dans sa version forcément la plus critique...

Dans le tableau final de Mélancholia de Lars Von trier, c’est Justine/Kirsten Durst (la mélancolique), la saturnienne qui sauve le monde au lieu de Claire/Charlotte Gainsbourg qui pourtant s’escrime à le faire depuis le début dans un mouvement ininterrompu d’une sorte d’agitation morale et convenue. Justine, la « wagnérienne »… sauve le monde et le genre humain grâce à ce vieux subterfuge de la cabane symbolique dressée contre les forces naturelles maléfiques. Le pouvoir de l’imagination, celui de la contemplation, dressé comme un ultime rempart aux effets récalcitrants du chaos primordial. Mélancholia : Un humanisme... Mais si, mais si, je vous assure !
NÉON™

dimanche 7 août 2011

UN BEAU MAILLOT !


CYCLISME SUR ROUTE

PODIUM À LANGEAC (HAUTE-LOIRE)
ET UN TITRE DE CHAMPION DE FRANCE DES JOURNALISTES (UJSF)




LE PODIUM DES CHAMPIONNATS DE FRANCE DES JOURNALISTES CYCLISTES (MOINS DE CINQUANTE ANS)
1- JEAN-LUC GANTNER (FRANCE TV)
2- PHILIPPE TRIAS (LE PROGRÈS)
3- CHRISTOPHE DARNE (L'ÉVEIL)


J'étais un peu venu, l'histoire de faire plaisir à mon père qui "avait fait le métier" dans son temps, comme une dédicace spéciale à mon paternel et puis voilà tout. Mais l’aventure commence à me coûter cher en champagne et en vins fins de toutes sortes. Une montagne de SMS et de messages de félicitations qui arrivent d’un peu partout. Le résultat… d’un maillot tricolore enfilé ce samedi 6 aout 2011 à Langeac (Haute-Loire) sur le podium des « Championnats de France cycliste sur route des journalistes ». Si ! Comme je vous le dis ! Un championnat de France... (tout ce qu’il y a de plus sérieux, dit-on…) des journalistes « cyclistes ». C’est-à-dire le genre de gratte-papiers, d’animateurs télé encartés ou de « paparazzis » qui calculent leur vitesse de déplacement dans l’air de l’information internationale en braquets... et leur vague à l’âme à propos d’un monde déglingué, en nombre de tours de roues par minute… Des « forçats » de la ligne rédactionnelle détournée en course au maillot tricolore…




Un coup à jouer en trois bandes gagnantes Bleu, blanc, rouge sous l’égide de l’UJSF (Union des journalistes de sport en France). Une épreuve de force de réussir à faire pédaler un tas de journaux dans le même sens avec tout le fair play qui s’impose en pareille circonstance d’une lutte sans merci pour tenter de faire figurer le nom de sa boite et le sien avec au tableau d’honneur. Un maillot de champion de France, une médaille d’or et… la marseillaise, jouée par la fanfare de Langeac en personne cette année. Autant dire : la valise, sa poignée, et l’étiquette de voyage collée dessus… Un public, auvergnat, mais large pour ce qui est d’encourager le client à la dépense physique sur le parcours. Des fans sur la ligne d’arrivée pour couvrir les cris de rage dans le sprint final. Une véritable « émeute » de groupies venues tout exprès pour soutenir leurs « champions » préférés… Philippe Trias du journal « Le Progrès » et ce Néon™ de cycliste à ses heures et reporter à France télé le reste du parcours de l’horloge. Philippe Trias™, le responsable de tout ce qui est advenu cette fameuse journée du 6 aout. Une date ! Car c’est bien la faute de ce jurassien de cœur et son Trek Madone™ (la monture des frères Schleck™ prise en défaut cette année sur le tour de France par le BMC™ de Monsieur Cadel Evans…) si on en est arrivés là. Des heures d’entraînement certes ! Mais cette idée de participer à cette épreuve nationale venait entièrement de lui. Je le jure sur la tête de Jean-Marie Baverel et de sa caméra qui filme entre les rayons pour passer inaperçu dans les allées des supermarchés. Un caméraman féru de vélo qui est aussi pour quelque chose dans ce programme de récompenses estivales totalement impromptues.



AVANT LE DÉPART AVEC PHILIPPE TRIAS


Au final, moins de deux heures de course pour en finir d’une somme d’efforts terribles dans les bosses auvergnates. Des volcans sous les cales… de quoi mettre le feu dans le peloton. Un petit groupe lancé à toute berzingue dés les premiers échanges de politesses. Pas même le temps de dire bonjour à tout le monde, et encore moins celui de contempler le paysage. Des forêts sauvages sur les rives de l’Allier. Un tas de types la tête rentrée dans des cuisseaux bandés, larges comme des semi-remorques. Les premières minutes de course sur un de ces faux plats réservés à des « rouleurs » aguerris. Une course de camions, où Philippe et moi ne pesons pas bien lourd. Mais la course sur route est une épreuve tactique où rien ne se joue jamais définitivement sur un coup de « biceps » décroché prématurément. Et comme dit la fable depuis la poésie grecque à laquelle elle fut empruntée : Rien ne sert de courir…


DANS LA BOSSE DE 12KM


Quelques kilomètres plus tard, et au bout de quelques dénivelés bien placés, les costauds et leur réputation finiraient bien par plier sous la charge de leur ambition. Une collision fatale entre les facteurs naturels d’inertie et l’impitoyable administration des fardeaux… Un gouvernement favorable aux grimpeurs, élu pour une petite quinzaine de kilomètres et sans aucune combine parlementaire possible. Le supplice démocratique sous sa forme la plus radicale. Monte et tais toi. « La culture pour tous » aurait dit Malraux et pour rester un moment sur le terrain politique, mais de la culture physique. Une vraie « chienlit » pour les gros bras !



QUELQUES MINUTES APRÈS LE PASSAGE DE LA LIGNE D'ARRIVÉE


Au tiers de la bosse, ils ne sont plus que six au-dessus de nous en position probable de réussir à mener l’opération d’un bastringue dantesque prévu sur le plateau sommital. Une montée « de Varennes » (ça ne s’invente pas !) construite sur le papier comme la possibilité d’une fuite décisive en vue de la victoire finale. L’accident de terrain à négocier au plus juste avant que le tocsin ne résonne enfin, 500 mètres plus haut, au profit du plus combatif du jour. Un plan d’évasion trafiqué dès le départ par deux complices de la première heure à qui on ne fait pas l’histoire, et collés aux basques par un genre de Lafayette finalement pris au dépourvu « empêtré » au lendemain des événements du 20 juin 1791 (Ce général, héros français de l’indépendance américaine, né dans ce pays de Haute-Loire justement ! et qui avait tenté de couvrir la fuite du roi par un de ces procédés tarabiscotés auquel personne ne crut jamais.) Pour vous dire aussi l’histoire… ou le genre d’histoires qu’on finit par se raconter sur un vélo, dans les pires hauteurs d’Auvergne et à quelques distances du mystérieux Gévaudan. Une sorte de Marquis… qui ne sait plus très bien à mi parcours avec qui continuer de chasser l’horrible bête, ni quelle bête immonde il lui revenait exactement de traquer dans le scénario prévu, pour ne pas succomber lui même sous ses propres crocs.


LA CHEMISE POUR LA CÉRÉMONIE

Cinq concurrents encore devant… dont un coureur de tout juste vingt cinq ans, maintenant en ligne de mire dans les derniers lacets. Cette idée idiote, oui, je l’avoue… de vouloir lui nouer sa paire de chaussures avec, pour en finir plus vite avec son envie de se battre jusqu’au bout dans ma roue. Encore 1 kilomètre avant le fameux tocsin… et ce dernier naufragé repris dans la tempête qui fait désormais rage à plus de mille mètres d’altitude sur une route dorénavant changée en montagne russe balayée par le vent.



SUR LE PODIUM DES CHAMPIONNATS DE FRANCE USJSF

LA MÉDAILLE !

JLG, PHILIPPE, ELVIS
APRÈS L'EFFORT...

Voilà le morceau de choix de la journée ingéré et la perspective alors, d’une forte honorable quatrième place à la clé si rien ne tourne mal entre temps. Car l’attraction comporte encore quelques fameux décors à absorber, en commençant par ce promontoire en forme de plateau de « Ferrussac » défiguré par des bourrasques surnaturelles. Des trombes d’eau lancées à toute blinde et qui dévaleront bientôt les pentes terminales pour amuser le public téméraire ou un peu sadique aussi… attardé dans les dernières épingles à cheveux. Quatrième… mais cette sorte de hussard d’origine champenoise qui me précède maintenant d’un peu moins d’un quart de lieue, va me servir de frère d’armes pour accompagner cette dernière chevauchée. Trois cents mètres de montée, puis la même distance en descente, puis trois cents mètres de montées, puis… Le même supplice chinois qui se répète pendant une vingtaine de minutes d’une lutte interminable contre cette sorte de Mistral glacial débarqué de je ne sais quelle direction contradictoire avec son origine supposée. Un duo de circonstance, providentiel, qui nous mène relai après relai et de plus en plus rapidement jusqu’à la ligne d’arbitrage à Langeac. Quatrième... et pourquoi pas "troisième" du classement général de l'épreuve sur la centaine d'engagés au départ et la trentaine de journalistes ?!... Deux cents mètres à peine pour en causer au sprint, la roue de mon confrère dans la mienne, l’ensemble de la ferraille et des boyaux, encastré dans les grilles du couloir de ralentissement alors que le speaker prononce dans mon dos un nom que je connais à la perfection depuis plus de quarante cinq ans… Voilà l’histoire d’un maillot tricolore des journalistes cyclistes "de moins de cinquante ans"... enfilé à Langeac, département de la Haute Loire, ce samedi 6 aout 2011... Et tout le poids qu’on m’a confié sur les épaules de faire honneur au métier avec un beau maillot bleu blanc rouge comme ça et une médaille en or accrochée par-dessus.
JLG 6/08/2011


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